Expérience Luge Park - Luge sportive
Présentation
J’ai testé pour vous : le Luge Park
« Là, l’aventure commence... »
Janvier 2019, Chamrousse 1650, avis luge sportive, entre amisElise, sportive du dimanche, fromage addict et lugeuse prudente
Arrivée à Chamrousse, pardon Chamrousse 1650 / le Recoin / mon lieu de travail / la future station connectée Chamrousse 2030 (désolée, déformation professionnelle).
Bref, bien arrivés en fin de matinée pour profiter de la neige entre copains. Les conditions sont idéales, grand soleil, neige fraîche et la mer de nuage est restée basse, on a de la chance. Direction la cabane bleue du Luge Park pour acheter les forfaits, avec une interrogation sur cette question de caution.
Un peu de queue, il y a du monde et pas beaucoup de place à l’intérieur du chalet mais ça va plutôt vite, il faut dire que cette activité hors-ski rencontre un franc succès.
On rentre dans la cabane en bois, on prend un peu de place à 6 et on est un peu bruyants, normal avec une majorité de garçons. Pour la caution finalement c’est juste une empreinte carte bleue, pas besoin de sortir mon chèque de dépannage que je garde précieusement pour ce genre de cas-là.
On récupère le précieux sésame, le forfait puis l’équipement pour la sécurité, le casque, et direction le télésiège juste à côté. La luge elle, nous attend bien sagement là-haut.
Bref, bien arrivés en fin de matinée pour profiter de la neige entre copains. Les conditions sont idéales, grand soleil, neige fraîche et la mer de nuage est restée basse, on a de la chance. Direction la cabane bleue du Luge Park pour acheter les forfaits, avec une interrogation sur cette question de caution.
Un peu de queue, il y a du monde et pas beaucoup de place à l’intérieur du chalet mais ça va plutôt vite, il faut dire que cette activité hors-ski rencontre un franc succès.
On rentre dans la cabane en bois, on prend un peu de place à 6 et on est un peu bruyants, normal avec une majorité de garçons. Pour la caution finalement c’est juste une empreinte carte bleue, pas besoin de sortir mon chèque de dépannage que je garde précieusement pour ce genre de cas-là.
On récupère le précieux sésame, le forfait puis l’équipement pour la sécurité, le casque, et direction le télésiège juste à côté. La luge elle, nous attend bien sagement là-haut.
Là, l’aventure commence !
Tout de suite, on est dépaysés, c’est très étrange de passer à pied dans le tourniquet en ayant un skieur à côté. On essaye de s’imposer pour monter ensemble, et là on embarque sur le télésiège. Une impression étrange de légèreté et de liberté… et oui les skis en moins au bout des pieds, ça change. On en profite pour admirer le paysage, les pistes tout en sachant qu’on ne va pas skier dessus et bien sûr comme tout jeun’s qui se respecte, on fait un selfie sur le télésiège.Nouvelle interrogation, comment est-ce qu’on fait pour descendre d’un télésiège à pied ? Parce que sans les skis, ça ne glisse pas, réponse : tu cours !
Dans l'action, ne pas oublier d'aller voir le monsieur du télésiège qui donne les luges et direction la piste. Enfin pas tout à fait. D’abord la pause photos s’impose.
Devant le super panneau du Luge Park (que c’est moi qui l’ai fait ;), et hop on lève les bras puis on s'installe en groupe au début de la piste. Là je crois qu’on commence à faire bouchon, il est temps qu’on profite de la raison de notre présence ici, la luge !
Personnellement, je laisse les gars y aller d’abord, je n’ai pas envie de mourir.
Première descente
Je me lance et j’actionne les freins pour tester les changements de direction, je ne me souviens même plus comment ça fonctionne. Il faut dire que la luge pour moi ça date de mon enfance.Premier virage passé, donc tout va bien, il y a une bonne couche de neige, elle n’est pas trop dure, ni tracée mais je continue d’y aller de manière prudente. Ce n’est pas vraiment le cas des autres, ils sont à fond, je ne les vois déjà plus ! Les virages deviennent serrés et ils s’enchaînent, c’est sportif puis ça ralentit un peu et on rejoint une piste, j’espère que les skieurs m’ont vue, j’arrive.
A partir de là, ça surprend un peu parce qu’en plus de ne pas foncer dans les autres luges, il faut aussi ne pas rentrer dans les skieurs alors que la piste devient chemin avec une largeur réduite.
Dernier virage et l’arrivée est déjà là, il faut freiner. Je me relève, youpi, j’ai survécu et les gars sont déjà là, à m’attendre. Instinctivement, premier réflexe, on va les uns vers les autres pour partager euphoriquement notre expérience. Retour à la cabane avec la luge pour la déposer sur le tas des magnifiques luges orange. Et c’est reparti pour un tour !
Deuxième descente
La montée en télésiège est bienvenue, elle nous permet de continuer à partager nos émotions, notre ressenti et notre envie de remettre ça rapidement.Cette fois la sortie du télésiège est un détail, pas d’arrêt en début de piste, on se lance directement. Là, l’enthousiasme mêlé à l’excitation prend le pas sur la prudence ou l’envie de prendre des photos, on est en plein dans l’expérience.
Je lâche un peu les freins de ma luge, et plutôt j’arrête de tirer sur les freins en non-stop, je pense que la piste me remercie, de ne plus faire des saignées dans son beau manteau blanc.
Tout à coup, sortie de virage... j’ai suis sortie de la piste et j’ai embarqué la belle banderole bleue du Luge Park qui indique les virages. Aïe j’ai mal... je suis retombée de côté sur le bord de la luge au passage, je suis un peu choquée mais c’est le métier qui rentre comme on dit.
La gamelle fait partie de l’expérience.
Tu m’étonnes que ça soit interdit aux enfants de moins de 5 ans et jusqu’à 10 ans seulement dans la luge avec un parent.
Je retourne sur la piste avec la luge un peu sonnée, j’essaye de me remettre de mes émotions, les gars sont déjà loin devant, personne n’a vu que je me suis cassée la margoulette. J’y retourne doucement, ça va je ne suis plus très loin de la dernière portion de la descente qui rejoint la piste de ski, un couloir peu pentu. Une fois en bas, je partage ma mésaventure. Rien de grave, mon enthousiasme et mon envie sont encore là. On enchaîne. On pose la luge et c’est reparti pour un troisième tour.
Les descentes s’enchaînent.
Je ne sais même plus à combien on en est, plus de sortie de route… pardon non de piste, enfin pour moi parce que les autres y sont passés aussi, ça me rassure. A un moment on se dit "oh en fait ça fait combien de temps qu’on profite ?" parce que les 2 heures sont très vite passées et on n’est pas tout seul sur la piste, il y a de plus en plus de monde !On pose les luges, on repasse par le petit chalet pour rendre le casque et on récupère la fameuse caution. Et voilà c’est fini, on est rassasiés et super contents de cette nouvelle expérience du Luge Park à Chamrousse. Pour une fois, il y en a eu pour tout le monde skieurs et non-skieurs.
En conclusion, on a des anecdotes à raconter, de belles choses à partager et des photos souvenirs à publier sur les réseaux sociaux #lugepark #chamrousse #cestlefun.
Mais quand c’est fini, ce n’est pas fini… c’est l’heure d’aller manger au restaurant ! Après l’effort, le réconfort ! Ça m’enthousiasme autant que la luge, pas pour la nouveauté mais parce que moi la sportive du dimanche, ma passion dans la vie c’est le fromage ! Ici on le trouve sous toutes ses formes, la traditionnelle raclette, la tartiflette avec le reblochon, le gratin de ravioles au bleu, le burger montagnard, la fondue…
D’ailleurs en parlant de fondue, la prochaine fois, il faut qu’on teste le ski nocturne + fondue ;) !
Elise - Office de Tourisme.
Achat du forfait "Luge Park" à la caisse dans le chalet dédié au pied du télésiège des Gaboureaux à Chamrousse 1650 - Recoin.
Plus d'informations sur ces expériences de glisse : Luge Park Ski nocturne
Crédit photos : Marion Gutierrez